William Duckworth, professeur de statistiques à l’université de Creighton (dans le Nebraska, États-Unis), vient de publier les résultats d’une étude qui devrait apporter de l’eau au moulin des partisans de l’adoption d’un « kill switch » sur les smartphones.
Un « kill switch » est un procédé permettant de mettre définitivement hors d’usage un smartphone à distance. Une technologie sensée fortement limiter les risques de vol, l’appareil subtilisé devenant totalement inutilisable.
L’adoption d’un tel procédé permettrait aux consommateurs américains d’économiser 2,6 milliards de dollars par an, estime William Duckworth.
580 millions de dollars sont aujourd’hui liés aux dépenses relatives au remplacement du smartphone volé (ou perdu) et 4,8 milliards de dollars aux contrats d’assurance des téléphones portables. En limitant les risques de vol de leur terminal mobile, les consommateurs pourraient opter pour des assurances moins chères.
Autre point intéressant de l’étude de William Duckworth, une écrasante majorité (99%) des plus de 1200 personnes interrogées sont favorables à l’installation d’un « kill switch » par les opérateurs. 83 % des sondés estiment que cela réduira les vols de smartphones.
L’installation d’un « kill switch » sur les smartphones pourrait faire prochainement l’objet d’une loi outre-Atlantique.
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