Le ministère de la Justice américain vient de diffuser un véritable guide pratique des bonnes méthodes pour utiliser les réseaux sociaux dans le cadre d’enquêtes. L’association Eletronic Frontier Foundation publie les « bonnes feuilles » de ce guide.
La Justice va regarder de plus près les sites dits 2.0 tels que Facebook, MySpace, Twitter ou bien encore LinkedIn pour en tirer le plus d’informations relatives à une enquête. A la loupe, Facebook permettrait de récupérer des « informations standards », comme des photos, des contacts de membres ou de groupe de membres mais aussi des logs de connexion IP. Un bon élève en somme.
De son côté, Twitter semble moins regorger d’informations utiles. Aucun numéro de téléphone n’est disponible, de même, le document rapporte que seul le dernier log de connexion est conservé. Pour sa part, LinkedIn s’avère être d’un usage un peu plus en retrait.
Une méthode logique au vu de l’essor des sites de réseaux sociaux. Toutefois le ministère de la Justice conseille d’avertir les jurés et témoins lors d’un procès de ne rien publier afin d’éviter de contourner le secret de l’instruction et des délibérés.
La technique se rapproche de l’approche des cyber-gendarmes français désormais autorisés à infiltrer les forums et autres MSN afin de repérer des pédophiles. Une cyber-infiltration qui pourrait, à l’avenir, se développer considérablement.
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…