Cette rumeur persistante a été confirmée dans le courant de la semaine du 29 décembre 2005 par des officiels de la très célèbre « National Security Agency ». Ces officiels ont reconnu avoir recours aux « Cookies » et « Web bugs » afin de tracer l’activité des visiteurs d’une douzaine de sites Internet gouvernementaux.
Tout comme les « Cookies », les « Web bugs » permettent de tracer le comportement d’un internaute sur un site Internet. A la différence des « Cookies » les « Web bugs » peuvent également permettre la surveillance des emails. Les web bug sont généralement des images GIF transparentes, de la taille d’un pixel, placées dans une page Web ou un courrier électronique au format HTML, qui s’activent lors du téléchargement de la page et lancent une requête à un serveur distant qui collectera des informations sur l’internaute à son insu. Parmi les informations pouvant être ainsi récupérées, figurent l’adresse IP, le nom et la version du système d’exploitation et du navigateur utilisés, ou même encore la résolution de l’écran de l’internaute. Les cookies sont de petits fichiers textes stockés par le navigateur Web sur le disque dur du visiteur d’un site Web et qui servent (entre autres) à enregistrer des informations sur le visiteur ou encore sur son parcours dans le site. Le webmaster peut ainsi reconnaître les habitudes d’un visiteur. Les « Web bugs » associés aux « Cookies » permanents se révèlent être de redoutables mouchards électroniques. Peter Swire[1] professeur de droit à l’université de l’Ohio et rédacteur de la célèbre « Web Tracking Policy » [2] rappel qu’utiliser ce type de technologies est contraire à la réglementation américaine. Les internautes qui se retrouveront envahis de « cookies » permanent et de « Web bugs » peuvent être rassurés, la loi est de leur coté. [1]https://www.peterswire.net/ [2] https://www.whitehouse.gov/omb/memoranda/text/m03-22.html Patrice Salnot pour Vulnerabilite.com
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