La Russie est la seconde patrie du piratage de musique après la Chine, et génère un manque à gagner pour l’industrie du disque d’environ 350 millions de dollars, sans compter le piratage en ligne via Internet.
Les amendements tant attendus par la IFPI (International Federation of Phonographic Industries) ont échoué en seconde lecture vendredi dernier, et le report à une date proche semble compromis par l’affrontement de groupes politiques qui s’opposent sur cette loi. La législation russe prend mal en compte le détournement de la propriété intellectuelle et industrielle, ainsi que le piratage informatique. L’harmonisation de la législation russe sur les règles du copyright international donnerait plus de poids aux industriels dans leurs démarches de lutte contre le vol intellectuel et culturel. Cependant, l’économie russe, sinistrée, subit comme beaucoup de pays présentant une situation similaire, une économie parallèle ‘underground’, souvent la seule à générer du profit et des richesses, bien mal distribuées, cela va sans dire. Les élus russes, en pleine préparation électorale, ont-ils intérêt à adopter une législation plus coercitive pour cette économie parallèle dont certains d’entre eux tirent sans nul doute une partie de leurs profits ?
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