Le Brésil est l’un des pays d’origine du spam, loin des Etats-Unis sans doute, mais suffisamment pour se voir ‘blacklisté’ par les fournisseurs d’accès. En effet, ces derniers sont devenus extrêmement prudents avec le trafic en provenance de ce pays, qu’ils ont tendance à mettre à l’index.
Il était donc temps que le gouvernement brésilien réagisse et se donne les moyens de figurer non plus parmi les spammeurs, mais parmi les acteurs majeurs de l’internet. Des projets de lois sont en cours d’élaboration. Mais les politiques se sont fait dépasser par le terrain, plusieurs associations ayant créé l’Antispam Brazilian Committee, qui s’est doté d’un code d’éthique anti spam. Plus qu’une loi, dont l’arrivée reste politiquement problématique, les acteurs de l’internet brésilien entendent favoriser l’autorégulation. Et pour cela, ils viennent de lancer une première action, le projet ORBL (Open Relay Black List), une ‘black list’ anti spam, premier système brésilien de prévention des abus.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…