C’est à l’occasion du sommet irlandais entre les Etats-Unis et l’Union européenne, que la commissaire européenne aux transports Loyola de Palacio et le secrétaire d’Etat américain Colin Powell ont signé l’accord de cohabitation des systèmes de navigation par satellite.
Après avoir validé la qualité de leur service sous la nouvelle fréquence, les européens ont accepté de déplacer la fréquence du projet grand public Galileo, afin d’éviter une superposition avec la fréquence militaire du GPS américain. En contre partie, les américains ont renoncé à imposer un droit de veto sur les évolutions ultérieures du signal Galileo. Galileo, qui va nécessiter le lancement d’une trentaine de satellites, doit en principe commencer à fonctionner en 2008. L’entreprise publique Galileo qui mène pour l’instant le projet est en cours de sélection du futur concessionnaire du projet, qui doit prendre les rênes à partir de 2006. La Commission européenne affirme que le développement de ce nouveau système va créer 150.000 emplois.
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