Les industriels de la musique et du cinéma, accompagnés par la MPAA, l’association américaine de l’industrie cinématographique, s’étaient félicités de la saisie des serveurs Razorback permettant de mettre en relation les utilisateurs du réseau P2P d’eDonkey et eMule, deux programmes bien connus des amateurs de téléchargements.
La MPAA s’est donc frotté les mains un peu tôt. Car les utilisateurs de ces réseaux disposent depuis déjà plusieurs mois d’une alternative décentralisée nommée Kad. Selon le cabinet d’études spécialisé dans l’analyse du trafic P2P CacheLogic, cité par eCommerceTimes: « Nous n’avons vu aucun effet sur les niveaux de trafic eDonkey. Au niveau technique ça n’est pas particulièrement surprenant, le serveur Razorback est simplement un serveur d’index eDonkey. Il ne contient en réalité aucun contenu illégal en soit, mais uniquement les détails sur qui partage quel contenu ». La chasse aux contenus illégaux présents sur le net peut donc reprendre et le repos des guerriers de la MPAA aura été de courte durée.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…