Considéré comme l’aéroport international le plus avancé en matière de nouvelles technologies, le
San Francisco International Airport commence à tester les futurs points de contrôle de sécurité des passagers. General Electric s’éloigne des salles blanches et des environnements aseptisés de ses laboratoires pour accéder à des simulations en situation réelle. L’aéroport de San Francisco sera le premier à bénéficier de cette nouvelle technologie. L’objectif est de scanner automatiquement un passager et ses bagages en 20 secondes, à l’aide de technologies informatiques et de scanners spécialisés. Tous les voyageurs apprécieront cette avancée technologique qui devrait enfin leur permettre de passer sous un portique de sécurité sans avoir à retirer leurs chaussures, à vider leurs poches de tous les accessoires métalliques ou électroniques, comme des clés ou leur téléphone portable, et de conserver leur ordinateur portable dans sa sacoche. La technologie exploite un nouveau système sophistiqué de ‘scan’ CAT qui remplace la technologie des rayons X. Le passager se place au centre d’un portail circulaire et transparent, pose un doigt sur un censeur qui lance un premier scan qui teste la présence de matières explosives. Puis il se dirige vers un second scanner, spécialisé dans la détection des matières chimiques dangereuses. Avec ce ‘checkpoint du futur‘, General Electric répond à un triple cahier des charges défini par la TSA (Transportation Security Administration) américaine : détecter un maximum de menaces, automatiquement afin de réduire les effectifs, et en étant le moins intrusif possible pour les passagers, qui apprécieront en effet ce confort.
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