Le FBI investigue contre des pirates qui se seraient servis des systèmes de l’Université américaine de Georgie comme serveur potentiel de futures attaques. Mais dans leur enquête, les services de police fédérale ont découvert que les ‘hackers’ ont eu accès aux identités des personnes stockées sur le réseau.
Etudiants, enseignants, administratifs, employés et intervenants ont donc involontairement fourni leur identité ? noms, dates de naissance, numéros de sécurité sociale, informations parentales et personnelles ? mais aussi leurs coordonnées bancaires, numéros de carte et dates d’expiration. Le piratage du système, qui a été découvert le 20 janvier dernier, pose une interrogation sur la protection des données dans les universités, un domaine où règne un flou général, même en France.
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