Après l’euphorie de la fin des années 90, les SSII font aujourd’hui machine arrière et débauchent massivement. Selon le Syntec, le syndicat patronal des SSII, les effectifs sont en repli de 3% par an.
Pour limiter l’hémorragie, le Syntec, qui vient de changer de président, a décidé pour la première fois de miser sur l’emploi. « Nous acceptons ce reproche d’une mauvaise gestion des carrières. Auparavant les SSII géraient le court terme. Aujourd’hui, celles qui n’ont pas su anticiper la lenteur de la reprise réajustent leurs effectifs », explique à la Tribune Pierre Dellis, délégué général du Syntec. Le syndicat, qu’on a connu pour sa forte opposition au 35 heures, va investir dans la formation des cadres informatiques -la deuxième population de cadres en France. Le Syntec va chercher à mieux utiliser le Fiafec, fonds d’assurance formation pour l’ingénierie, les études et le conseil. Il s’agit d’axer ces formations sur la gestion de carrière et non plus sur les besoins immédiats.
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