Après l’effondrement de la bulle Internet en 2000-2001 et la longue période de doute qui a suivi, les capital-risqueurs ont enfin retrouvé le chemin de l’investissement à destination des start-up françaises. En 2004, ces business-angels ont injecté 631 millions d’euros dans ces entreprises TIC, soit 60% de plus qu’en 2003! C’est au second semestre que les investissements ont été les plus forts: 345,45 millions d’euros. Dans le même temps, la demande d’investissement se fait plus pressante:
« Plusieurs dossiers nous parviennent chaque semaine depuis la mi-novembre, ce qui ne nous était pas arrivé depuis l’an 2000 », explique un spécialiste aux Echos. Des tours de table de grande envergure ont refait leur apparition. InFusio, le spécialiste des jeux pour téléphones mobiles a ainsi levé 22,5 millions d’euros. Mais c’est dans le biotech que les financements les plus importants ont été observés: Novexel, un spin-off d’Aventis, a collecté 40 millions d’euros.
Un an et demi après sa publication initiale, le RGESN est mis à jour. Tour…
Le régulateur britannique de la concurrence renonce à une enquête approfondie sur le partenariat de…
À partir de juillet 2024, Microsoft imposera progressivement le MFA pour certains utilisateurs d'Azure. Aperçu…
La pépite française de l'informatique quantique Pasqal va installer un ordinateur quantique de 200 qubits…
Le fonds de pension australien UniSuper a vu son abonnement Google Cloud supprimé - et…
OpenAI orchestre un déploiement très progressif de GPT-4o, y compris de ses capacités multimodales.