Après l’étude Pew Internet qui mesure les méfaits du ‘spam’ par le recul de l’usage des emails chez l’internaute américain, c’est au tour de la ?
Conference on Trade and Development‘ des Nations Unies (UNCTAD) de s’élever contre cette pratique (qui consiste à envoyer des messages commerciaux non sollicités). Selon cet organisme onusien, qui a commandité une étude à MessageLabs en mars 2003, 58,4% du ‘spam’ dans le monde proviendrait des Etats-Unis, suivi de la Chine à hauteur de 5,6%. Autre observation: le ‘spam’ se développe largement dans les pays émergents. Les Nations-Unies ont tenté de chiffrer les coûts induits par le ‘spam’ -frais de maintenance et de communication, perte de productivité. Ce coût a été évalué à 20,5 milliards de dollars. Différence d’appréciation entre Amérique et Europe Le rapport souligne l’urgence d’établir une coopération internationale afin de lutter contre le fléau. Mais les principales nations concernées évoluent en ordre dispersé dans ce combat contre du commerce sauvage. Ainsi, une directive de l’Union Européenne tend à mettre hors la loi les emails commerciaux non sollicités, alors que les Etats-Unis se retranchent derrière une législation qui les autorise. Le chemin sera long avant que le ‘spam’ soit reconnu mondialement comme étant une agression à la vie privée.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.