Dans la course aux « gros contrats » que se livrent les géants du cloud, la filiale d’Alphabet annonce un contrat de six ans avec Vodafone pour développer une plateforme de gestion des données de ses clients.
Baptisée Nucléus, elle « hébergera un nouveau système – Dynamo – pour permettre d’offrir plus rapidement de nouveaux produits et des services personnalisés sur plusieurs marchés. Dynamo permettra à Vodafone d’adapter de nouveaux services de connectivité pour les foyers et les entreprises grâce à des fonctionnalités de réseau intelligent, telles que la fourniture d’une augmentation soudaine de la vitesse du haut débit. » explique un communiqué commun.
Le développement de Nucléus sera assuré par les deux entreprises qui indiquent que près de 1000 spécialistes pourront être mobilisés en Espagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis sur ce projet. Il s’appuiera sur Neron, une autre plateforme de gestion des données, annoncée fin 2019, qui utilise BigQuery and Dataproc, les technologies d’analyse proposées par Google Cloud.
Vodafone a identifié plus de 700 nouveaux cas d’utilisation de nouveaux qui pourraient être développer via Nucléus,
Parmi eux, l’opérateur cite, outre les fonctionnalités de réseau intelligent, la capacité de gérer des données à dimension sanitaire et environnementale pour des datascientists mais également de fournir des jumeaux numériques à plusieurs fonctions de son support interne.
Parallèlement au projet Nucléus, Vodafone annonce la migration de son environnement SAP vers Google Cloud.
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