Le 22 noveambre dernier, un communiqué de France Telecom semblait mettre fin, après des mois de bataille judiciaire, au douloureux épisode MobilCom – opérateur dont il détient 28,5%. Le groupe français tentait par tous les moyens de sortir de ce bourbier qui l’obligeait à financer l’UMTS allemand. L’accord, qui prévoit la sortie de l’opérateur français permettait aussi de sauver l’alllemand.
Mais le turbulent ancien patron de MobilCom, Gerhard Schmid, ne veut pas en rester là. C’est une habitude chez lui. Alors que tout semblait bouclé, c’est la survie du groupe allemand qui est aujourd’hui menacée. L’ex-patron ne veut plus de l’administrateur (censé gérer ses parts) qui avait été pourtant validé. Il veut imposer un nouvel expert comptable. Enième volte-face Un simple conflit de personnalités pourrait donc remettre en cause le plan de sauvetage signé en novembre. 3500 emplois sont en jeu. Mais pour Schmid, seule sa situation personnelle semble compter. D’où cette énième volte-face.
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