Une mise à jour majeure tous les ans, une mineure tous les trois mois. C’est la cadence que suivra désormais MongoDB. Ce nouveau cycle de vie débute avec la version 5.0, fraîchement annoncée.
Pour utiliser cette nouvelle version, on s’assurera de disposer au minimum des microarchitectures suivantes :
On notera aussi la fin de prise en charge des systèmes d’exploitation suivants :
Parmi les avancées notables de MongoDB 5.0, il y a :
Sur l’offre Atlas, c’est le début des instances serverless. Pour le moment en préversion publique, avec une limite à 1 To de stockage. Elles prennent en charge MongoDB 5.0, les versions d’API et les Rapid Releases.
Le moteur de recherche d’Atlas gagne quant à lui un mécanisme de scoring. Il permet d’influer sur le poids de certains champs en leur appliquant des formules mathématiques.
Au niveau du cœur SGBD, le catalogue d’opérateurs d’agrégation s’agrandit. Avec, entre autres, de quoi incrémenter/décrémenter des dates ou générer un nombre aléatoire en virgule flottante. Sur la partie sécurité, le paramètre opensslCipherSuiteConfig permet de spécifier les suites cryptographiques qu’OpenSSL est censé autoriser sur TLS 1.3. À noter aussi la disponibilité d’un nouveau shell : mongosh. Il succédera à mongo avec, entre autres, la coloration syntaxique, la complétion automatique et une aide contextuelle.
Illustration principale © Slarhei – Adobe Stock
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