« Chers Compatriotes, compte tenu des circonstances exceptionnelles que connaît notre pays, j’ai décidé en mon âme et conscience de ne pas me représenter l’issue de mon premier mandat en 2012. » C’est ce qu’on pouvait lire (avec des fautes de syntaxe) sur la page Facebook de l’actuel locataire de l’Elysée, dimanche 23 janvier au soir, rapporte ITespresso.fr.
Un aveu assez surprenant… qui ne provient évidemment pas du principal intéressé. Le « mur » Facebook du président de la République a tout simplement été piraté. Le message a pu toucher les quelques 380.000 « fans » abonnés au compte Facebook officiel de Nicolas Sarkozy. Elle a néanmoins été rapidement retirée.
Son authenticité était de toute façon difficilement crédible. Dans le message du faussaire sévissant sur Facebook figurait également un lien vers la page du réseau social consacrée au « pot de départ de Nicolas Sarkozy », fixé au dimanche 6 mai 2012, correspondant à la date de la fin de son quinquennat (une reprise du modèle que Les Guignols de Canal Plus avaient concocté pour Jacques Chirac au bout de son mandat).
Il n’en reste pas moins que la manipulation de la page présidentielle remet, une fois encore, en cause la sécurisation de Facebook, première plate-forme de réseau sociale en ligne. A moins que l’attaque ne provienne de l’entourage du président…
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