Nippon Telegraph and Telephone (NTT), premier opérateur téléphonique japonais, annonce la mise au point d’un système de protection contre les »
distributed denial of service« , les DDOS ou « déni de service« . Ces attaques virales, du type du ver « code rouge » en 2001, visent les serveurs informatiques, qu’elles saturent en ralentissant leur fonctionnement par l’envoi d’instructions et de données. Jusqu’à présent, les systèmes de protection consistaient à placer un pare-feu (firewall), entre le serveur et le réseau. Le système développé par NTT protège le serveur, mais aussi les postes de contrôle placés à proximité. Si un serveur est infecté, la propagation artificielle des données sera alors ralentie, voir arrêtée. Encore en phase de test, la solution proposée par NTT présente l’intérêt d’être globale, car elle protège l’ensemble des utilisateurs en intégrant la détection et l’isolement des serveurs infectés.
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