« Inévitable ». Pour le patron de Pirelli, la réorganisation simplifiée de son groupe était urgentissime. D’ailleurs les analystes ont salué cette fusion « courageuse mais nécessaire ». L’objectif est de simplifier la chaîne de contrôle du groupe italien en allégeant la cascade de holdings qui pesait fortement sur sa valorisation boursière. Allègement Olivetti, ancien fabricant de machines à écrire et d’ordinateurs, jusqu’à présent propriétaire de Telecom italia via Olimpia, elle même filiale de Pirelli, disparaîtra. C’est tout de même un grand nom de l’industrie italienne qui passe à la trappe. A l’issue d’opérations complexes, la nouvelle structure du groupe comprendra à sa tête Camfin (holding du président de Pirelli), puis Pirelli, Olimpia et Telecom Italia. Cette dernière a d’ailleurs annoncer une perte nette de 322 millions d’euros en 2002 avec une dette de 18,1 milliards d’euros (-3,8 milliards). Pour continuer à sze désendetter, l’opérateur compte vendre son activité d’annuaires, Seat Pagine Gialle.
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