Opera Software vient tout juste de mettre en ligne la version 10.53 de son navigateur web Opera, pour Windows et Mac OS X. Cette mouture corrige une faille critique : un défaut dans la gestion de la mémoire aurait pu permettre la prise de contrôle de la machine de l’utilisateur à distance. La mise à jour est donc vivement recommandée.
La version 10.53 d’Opera pour les systèmes Unix, comme Linux et FreeBSD, est également en cours de finalisation, une version de test étant disponible. Notez toutefois que ce produit ne sera pas porté sous Solaris. Un choix logique au vu du flou général régnant actuellement autour de cet OS et de son dérivé open source, OpenSolaris.
Enfin, Opera Software renforce son offre de services en mettant la main sur le webmail FastMail pour un montant non communiqué. Grâce à cette acquisition, l’éditeur norvégien pourra proposer un service de mail avec les versions mobiles de ses navigateurs, qui – contrairement à la version desktop d’Opera – ne disposent pas d’un client de courrier électronique intégré.
« La nouvelle génération d’utilisateurs Internet découvrira le web au travers d’appareils mobiles. En unissant les forces d’Opera et de FastMail, nous pouvons offrir une solution de messagerie accessible sur tous les appareils », explique Rolf Assev, chief strategy officer d’Opera Software.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.