Un tiers de ces failles ont débouché sur une perte financière significative. Parmi les entreprises touchées dont la sécurité a été mise à mal sur ces douze derniers mois, 50 ont été attaqués de l’intérieur.
Dans son rapport, Deloitte explique que ces chiffres sont en hausse, notamment parce que les gadgets multimédias (lire notre article) se démocratisent, comme les clés USB, qui sont communément utilisées pour le stockage de données confidentielles.
Pour la majorité des groupes interrogés, le manque de confiance dans la sécurité est réel, et 83 % expliquent qu’ils s’inquiètent du comportement de leurs employées.
L’étude s’est intéressée aux sociétés internationales qui ont pour c?ur de métier la technologie, les médias et les télécommunications. Elle met en exergue la sous-estimation de ces dernières vis-à-vis des risques de sécurité. Pourtant, elles semblent bien comprendre les implications financières de telles attaques et leurs conséquences sur leur image de marque.
Ces grands groupes sont très dépendants de la technologie. Et pour Deloitte les problèmes de sécurité de l’information deviennent progressivement leur souci principal. Reste un constat inquiétant, le document indique que seulement 48 de ces firmes disposent d’un plan d’urgence pour assurer la continuité du service. Un chiffre bien en dessous des performances d’autres industries.
« Faire attention à la sécurité n’est peut-être pas la source d’un avantage en terme de compétitivité, cependant, cela est devenu un point critique pour tous business arrivés à maturité en ce début de 21e siècle. Le fait que seulement 4 % des groupes interrogés pensent en faire assez au niveau de la sécurité montre est préoccupant » déclare Colm McDonnell, directeur de la division Enterprise Risk chez Deloitte.
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