Il avait présidé au redressement du groupe, qu’il a dirigé six ans durant. Mais depuis, la tendance s’est inversée de nouveau, et les résultats de Borland glissent vers le rouge, au point de lancer un ‘
profit warning‘ avant la publication des résultats trimestriels. Un glissement qui prend sa source dans le succès des plates-formes open-source, en particulier les outils de développement de la Fondation Eclipse. Et comment rivaliser avec ces plates-formes gratuites ? Pour Borland, le repli est mesurable. Pour le trimestre écoulé, la prévision de chiffre d’affaires de 70 à 73 millions de dollars se situerait désormais dans les 65 à 67 millions de dollars. Pour Dale Fuller, c’est un constat d’échec, et le CEO de Borland a choisi de prendre ses responsabilités et de démissionner. Il sera remplacé temporairement par le vice président exécutif et Chief Operating Officer Scott Arnold, qui assurera l’intérim. Le ‘board’ de Borland n’attend pas d’autres mouvements, qui sont toujours préjudiciables à l’image d’un groupe. Quant à Dale Fuller, il restera membre du conseil d’administration de l’éditeur.
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