D’un côté, une plate-forme d’évaluation continue de la surface d’attaque (ASM). De l’autre, un simulateur d’événements cyber, présenté sous l’angle de la « red team automatisée ». Ainsi se présente l’offre de Randori. Voilà cette start-up américaine dans la lumière, à la faveur de l’intérêt que lui porte IBM. Ce dernier vient en l’occurrence d’annoncer son intention de l’acquérir.
Quelles intégrations attendre ? La partie ASM complètera le SIEM QRadar, tandis que le simulateur de Randori s’ajoutera aux compétences de l’équipe X-Force.
C’est la quatrième acquisition qu’IBM officialise cette année. La première (11 janvier) avait porté sur Envizi. Cette start-up de San Francisco fournit des outils d’analyse des données de performance environnementale. Big Blue prévoit, notamment, des passerelles avec ses offres Maximo (gestion d’actifs) et Sterling (supply chain).
Les deux autres acquisitions concernent des sociétés de conseil américaines. D’une part, Sentaca, positionné sur les médias et les telcos. De l’autre, Neudesic, spécialiste Azure.
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