Sous la presseion des négociations avec les organisations olympiques internationales, la Chine avait déclaré son acceptation d ‘ouvrir quelque peu Internet aux journalistes et aux supporters ou touristes venus en masse assister aux Jeux Olympiques de Pékin.
Peine perdue! Selon plusieurs organisations non gouvernementales engagées ou non sur les Droits de l’Homme, les intéressés se sont vu répondre une fin de non-recevoir. L’association Reporters Sans frontières a vu son site une nouvelle fois piraté. Ses dirigeants ont alors répondu en réussissant à émettre un message de paix par le biais d’une fréquence FM.
De leur côté, les grandes firmes (Microsoft, Google, Apple) ne savent pas vraiment sur quel pied danser en se réunissant pour parler de la censure. Un simple accord de bonne volonté…
Face à une nouvelle poussée de critiques, les autorités chinoises ont levé quelque peu la chappe de plomb. Elles ont également tenté de se justifier et d’expliquer pourquoi elles censurent le Web. Personne n’aura été vraiment convaincu.
Et puis, boycott ou pas, contestation comprise, force est de reconnaître que le trafic Internet a été ‘boosté’ par les Jeux: JO de Pékin: le sacre d’Internet
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