IBM avait promis de simplifier la gestion de sa base de données, souvent jugée complexe, en automatisant certaines fonctionnalités. Il s’agissait aussi de réduire les coûts de possession et de traitement de DB2.
Pas moins de 200 améliorations sont annoncées dans l’autogestion, les performances et le développement. DB2 Design Advisor, par exemple, optimise automatiquement les performances de la base, ce qui permet à certaines fonctions de s’exécuter 6,5 fois plus rapidement qu’avec une intervention humaine. Autre exemple, la capacité de reroutage du client permet de faire appel à une base sauvegardée en cas de défaillance du serveur de la base primaire. Et Stinger intègre une technologie d’optimisation de l’apprentissage qui permet de veiller les temps de réponse aux requêtes et de trouver les chemins d’accès aux données afin d’accélérer les processus. Enfin, la prochaine génération de DB2 Universal Database, qui devrait être disponible avant la fin 2004, prend en compte les informations géographiques, ce qui lui permet de gérer la courbure de la terre et des variables de type heure locale.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…