Sur la seule période du deuxième semestre 2006, l’éditeur a répertorié dans le monde plus de six millions de ‘bots’ – des ordinateurs zombies qui répondent aux commandes à distance d’un attaquant – soit 29 % de plus par rapport au premier semestre.
En revanche, si le nombre d’ordinateurs infectés est en augmentation, Symantec a constaté une diminution de 25 % du nombre de serveurs contrôlant ces réseaux de PC zombies. Cette baisse est, peut être, le résultat des efforts déployés pour éliminer ces serveurs, poussant ainsi les propriétaires à regrouper leurs réseaux de bots et à en augmenter la taille.
Les chevaux de Troie représentent ainsi 45 % des 50 principaux codes malicieux, soit une progression de 23 % par rapport au premier semestre 2006. Au cours du deuxième semestre 2006, Symantec a répertorié 12 vulnérabilités « zero-day« , contre une seule au cours du premier semestre.
Ces vulnérabilités sont découvertes par des pirates, ou bien achetées sur le marché noir. Elles sont ensuite utilisées pour exploiter des systèmes et y installer un code malveillant, des logiciels publicitaires ou des applications trompeuses.
Pour la première fois, Symantec a étudié dans son rapport les pays qui génèrent le plus d’activités malicieuses (bots, serveurs de commande-contrôle de bots, sites de phishing, codes malicieux, hôtes relais de spam et attaques Internet).
Pour le deuxième semestre 2006, la palme des activités malicieuses revient aux États-Unis, avec 31 % du total mondial. Quant à la Chine, elle comptabilise le plus grand nombre d’ordinateurs zombies, avec 26 % du total mondial.
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