Les responsables informatiques de l’Université de Stanford aux Etats-Unis sont inquiets. Depuis plusieurs semaines, les super-ordinateurs du campus sont régulièrement attaqués et paralysés de l’extérieur.
Et pour une fois, Windows n’est pas en cause puisque la majorité des machines visées fonctionnent sous l’OS libre Linux ainsi que sous Solaris de Sun. Il semblerait bien que ces hackeurs ont soigneusement sélectionné leurs cibles. « Stanford, comme de nombreuses autres établissements de recherche et des centres de calcul à haute performance, est devenue la cible d’attaques sophistiquées visant Linux et Solaris », a rapporté le 6 avril le centre de ressources informatiques de l’université. Outre la paralysie des systèmes visés, quel est l’objectif de ces pirates? Démontrer que le noyau Linux est aussi fragile que Windows? Peut-être. Mais une chose est sûre, l’OS libre, de plus en plus utilisé est aussi de plus en plus attaqué. Linux n’est pas exempt de failles, les hackeurs l’ont compris.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.