Cherchez l’erreur ! Qu’elle est donc cette »
énorme erreur » que Symantec aurait commise en rachetant Veritas ? Devant un parterre de 80 patrons d’entreprises, John Thompson, CEO de Symantec, a-t-il été dépassé par une expression malheureuse? Il avait choisi de revenir sans ménagement, ce lundi 27 juin, sur ce rapprochement spectaculaire, qualifié par certains consultants de « contre nature » et qui n’a pas fini d’inquiéter les investisseurs. Sur le papier, le nouveau groupe se classe au quatrième rang des éditeurs de logiciels dans le monde. Certes, mais les synergies entre un fournisseur d’applications de sécurité « clients » (Symantec) et un fournisseur d’applications de stockage et de virtualisation des ressources de stockage en entreprises (Veritas), restent à prouver: ce sont deux secteurs technologiquement distincts voire éloignés – la sécurité et le stockage? Pour John Thompson, « Le problème, c’est que personne n’avait vu un éléphant rose jusqu’à présent, et personne ne sait que faire avec« . Alors, l’erreur de Symantec ? « Nous n’avons pas dit POURQUOI » ! Et John Thompson d’apporter une réponse au ‘pourquoi’ : « Nous voulons créer une société qui permettra aux entreprises de créer des systèmes d’information qui peuvent se protéger des attaques des hackers et sauvegarder les données en permanence, répliquer les informations et restaurer à la fois l’information et les opérations constamment« . Tout un programme en forme d’assemblage des briques en provenance de Symantec et de Veritas ! Mais avec deux cultures aussi différentes, le mariage ne semble pas gagné.
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