Mauvaise nouvelle pour les partisans du WiMax: l’accord qu’ont signé en juillet les opérateurs américains Sprint et Clearwire pour déployer un réseau radio national à haut débit visant 100 millions d’Américains tombe à l’eau.
Il était prévu que la finalisation intervienne dans les 60 jours, constate le Wall Street Journal. Or, parmi les raisons du blocage, figure le départ du dg de Sprint, Gary Forsee, le mois dernier. Mais la complexité du dossier semble avoir été largement sous-estimée.
L’annonce cet été avait eu l’effet d’un coup de canon en faveur de la technologie sans fil WiMax, considérée comme le relais naturel des hot-spots Wi-Fi locaux très largement répandus aujourd’hui aux Etats-Unis, comme dans le reste du monde.
Les deux partenaires avaient évoqué un investissement, par Sprint, de 5 milliards de dollars d’ici à 2010.
Le dg de Sprint par interim, Paul Saleh, a laissé entendre que le géant des télécoms restait intéressé et impliqué dans le WiMax, mais sans évoquer la perspective d’un nouvel accord ou d’autres projets concrets avec Clearwire.
Il est vrai que, outre le recrutement d’un nouveau patron, l’opérateur américain, qui compte 54 millions de clients aux Etats-Unis, a d’autres chats à fouetter actuellement. Depuis plusieurs mois, il a été très concurrencé par AT&T et Verizon Wireless. Et la digestion de l’opérateur Nextel Communications, acquis en 2005, n’a pas été facile.
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…