La firme de Bill Gates ne perd pas le Nord. Même si Windows est intégré à 90% des PC dans le monde, cela ne suffit pas. Afin de s’attirer les faveurs de micro-marchés régionaux ou nationaux, l’éditeur lance le programme « Local Language ».
Il s’agit de traduire ses logiciels dans des langues peu usitées comme l’amharique, parlé en Ethiopie, le catalan, le gujarati, l’un des dialectes parlés en Inde, et le gallois. L’objectif est double: mieux attaquer ces micro-marchés et surtout rendre Windows plus séduisant auprès de ces pays ou régions pour qui la tentation est de se tourner vers Linux, moins coûteux que Windows. Evidemment, le discours officiel est tout autre. Pour Maggie Wilderotter, chargée des relations avec les gouvernements hors Etats-Unis, ces versions en langues locales de Windows ou de Microsoft Office pourrait encourager les ingénieurs de ces pays à développer de nouveaux programmes voire créer de nouvelles entreprises. Ce n’est donc pas du renforcement de position dominante…mais de l’aide au développement économique!
Comment gérer les données numériques après la mort de son détenteur ? La jeune pousse…
Ivès, expert en accessibilité de la surdité, s’est associé à Sopra Steria et à IBM…
L'Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) a lancé la phase de recherche de…
Broadcom remplace pas moins de 168 logiciels VMware par deux grandes licences de location correspondant…
La banque d’investissement utilise l'IA pour proposer des stratégies individualisées, en termes de rendement et…
OVHCloud partage ses efforts environnementaux au sommet de l’Open Compute Project qui se tient à…