Rien ne va plus pour Snap, la société se trouvant derrière le service mobile Snapchat. L’éditeur n’arrive en effet pas à convaincre les investisseurs et voit son action tomber en Bourse.
L’action a ainsi terminé la journée d’hier en baisse de -4,24 %, à 19,89 dollars. Soit plus que le prix d’introduction des actions – de 17 dollars –, mais bien moins que le prix de la première cotation, de 24 dollars. L’action Snap n’a jamais été plus basse sur la Bourse de New York. L’attente risque d’être longue pour les investisseurs souhaitant dégager un bénéfice.
Chose d’autant plus vraie que la confiance est au plus bas. L’action continue à être orientée à la baisse dans les échanges hors séance : -0,60 % à 19,77 dollars, à l’heure où nous écrivons ces lignes. Les analystes conseillent soit de conserver l’action, soit de la vendre.
Quant aux objectifs de cours à un an, ils sont compris entre 10 et 23 dollars selon les analystes. Aucun ne prédit donc un retour au-dessus des 24 dollars atteints le premier jour. La moyenne des analystes se fixe à 17,86 dollars. Soit à peine plus que le prix de vente initial des actions de la société.
Seul point positif, la capitalisation boursière de Snap se fixe à 23,02 milliards de dollars. Soit bien plus que celle de Twitter (10,96 milliards de dollars)… mais maintenant moins que celle de LinkedIn (26,65 milliards de dollars).
À lire aussi :
Snap lève 3,4 milliards de dollars lors de son introduction en Bourse
Snap, roi de Wall Street, plus valorisé que Twitter et LinkedIn
Snap : première introduction en Bourse ratée de l’année ?
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.