Alfresco Software et Joomlatools proposent un module d’intégration permettant de relier leurs solutions logicielles respectives. Il s’appuie sur la spécification CMIS (Content Management Interoperability Services), et plus précisément sur la bibliothèque CMIS REST. CMIS est une proposition de standard, qu’un comité technique OASIS est en train de finaliser.
« Le module d’intégrationAlfresco:Joomlaillustre parfaitement les promesses de CMIS », indique John Newton, président et CTO d’Alfresco Software. « Par cette intégration, les utilisateurs Joomla peuvent aujourd’hui mettre à profit le référentiel documentaire évolutif d’Alfresco pour gérer des contenus sur des sites Joomla au sein d’un environnement sécurisé, conforme et contrôlé. »
Ce module permet donc aux sites web Joomla d’accéder aux services de la solution de gestion de contenu open source Alfresco. Les utilisateurs Alfresco pourront également explorer, télécharger, modifier et publier directement du contenu sur des sites Joomla.
« Joomlatools est ravi d’avoir codéveloppé avec Alfresco une solution permettant d’une part, à nos utilisateurs de bénéficier de fonctionnalités évoluées de gestion de contenu et de gestion de documents d’Alfresco, et d’autre part aux utilisateurs d’Alfresco de gérer et de publier aisément leurs contenus sur les sites Joomla », précise Johan Janssens, cofondateur de Joomlatools et Joomla. « Cette intégration prouve que la coopération entre projetsopen sourceest à même de générer des solutions innovantes, plus rapidement qu’un modèle propriétaire. »
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.