Afin de répondre aux organisations européennes qui ne souhaitent pas adopter son offre cloud car les bases d’AWS (Amazon Web Services) sont physiquement hors des frontières de l’Europe, Amazon répond avec l’ouverture en Europe de l’ouest d’Amazon DynamoDB, son service de création de bases de données NoSQL.
Les données sur DynamoDB sont en théorie stockées sur des disques SSD (Solid State Drive) physiquement présents en Europe. Mais elle laisse cependant planer un doute : tout comme Microsoft Azure, par exemple, les données stockées dans le nuage sont fortement sécurisées et profitent d’une redondance. Or, Amazon indique qu’elles sont répliquées sur plusieurs zones géographiques… toujours en Europe ?
Dans son communiqué, Amazon indique qu’« avec la disponibilité d’Amazon DynamoDB en Europe de l’Ouest, le client est assuré que le service est conforme aux règles instaurées par l’Union européenne et que ses données ne vont pas quitter l’Union européenne ». À vérifier donc pour les organisations qui se laisseront séduire.
Afin d’attirer le chaland, et certainement de répondre à la dernière baisse des prix du stockage sur le cloud Azure de Microsoft, Amazon lance son service avec la gratuité de l’accès jusqu’à 100 Mo de stockage et une capacité en lecture/écriture de 5 écritures et 10 lectures par seconde (jusqu’à 40 millions de requêtes par mois).
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