Pourtant, le pôle micro-informatique du groupe représente un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros pour des revenus globaux de
465 millions d’euros, rappelle le journal Les Échos. Le quotidien économique constate que ce changement de « business model » est à rapprocher du changement de direction. L’ancien patron du groupe, Maurice Bourlier, était plutôt favorable à un changement progressif et moins radical. Seulement le nouvel homme fort du groupe, Jacques Salomon est pour une politique plus offensive et une restructuration complète de la firme. Aujourd’hui, c’est la vision de ce dernier qui semble l’emporter, et la chute vertigineuse des ventes de micro-informatique en ce début d’année 2006 de moins 25% a encore accéléré le mouvement. Jacques Salomon souhaite transformer le groupe en une société de services. Pour cela il va très certainement effectuer un remaniement des effectifs. Reste que le défi est risqué puisque la division micro du groupe représente encore 70% de son chiffre d’affaires, et comme le souligne Les Echos cette activité emploie 400 personnes sur un total de 1.900 salariés. L’espoir est autorisé, mais la baisse des prix et la concurrence des géants d’Asie risquent de peser sur ce repositionnement d’Ares dont l’action chute depuis un an.
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