C’est une véritable class action, menée par des particuliers, avec le concours d’un cabinet d’avocats américains. Le 15 avril, elle a été lancée par des habitants de Second Life, mécontents d’avoir été, d’après eux, expropriés de leurs biens – virtuels, certes, mais acquis avec des dollars bien réels – par Linden Lab, société qui gère ce monde virtuel. C’est le magazine en ligne Punto Informatico , qui le signale.
Ma piscine à moi
Les plaignants, qui s’expriment ici, mettent l’entreprise en accusation : après les avoir encouragés, par des massives campagnes de pub, à investir dans des biens virtuels, Linden Lab aurait modifié les conditions d’utilisation du site, expropriant, de facto, les habitants de Second Life de leur piscine, leur maison, et même d’objets qu’ils ont réalisé eux mêmes. Une arnaque tout à fait réelle…
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