Belgacom veut grandir. Le premier opérateur belge de télécommunications qui possède un important butin en cash, n’a que des opportunités de croissance externe limitées en Belgique, et ne possède aucune part importante dans des opérateurs étrangers.
L’opérateur serait donc intéressé par les privatisations de Cesky Telecom (République Tchèque) et de Turk Telekom (Turquie), a déclaré le porte-parole du groupe. Thierry Bouckaert a toutefois souligné qu’aucune offre n’avait été lancée. « Je confirme que nous avons demandé le prospectus (d’information sur la privatisation) de Cesky Telecom, comme nous l’avons fait pour Turk Telekom la semaine dernière. Cela ne veut pas dire que nous allons faire une offre », a-t-il dit. Le porte-parole a ajouté que Belgacom avait fourni des informations sur ses activités belges à Turk Telekom, une démarche habituelle qui permet en retour d’obtenir de plus amples informations sur l’opérateur turc de téléphonie fixe.
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