L’administration Trump continue de manier le chaud et le froid dans ses relations avec Huawei.
Après avoir accordé un délai de 90 jours pour trouver un accord de sortie de crise, Mike Pompeo, le secrétaire d’État américain, a remis la pression sur ses alliés européens à l’occasion d’une visite diplomatique en Allemagne.
Après les menaces à l’endroit du Royaume-Uni qui n’exclut pas de choisir les équipements 5G de Huawei, c’est au tour de l’Allemagne de se trouver dans l’étau américain sur le sujet.
Mike Pompeo a rencontré Heiko Maas, le chef de la diplomatie allemande, à Berlin.
Le secrétaire d’État américain a fait monter la pression en menaçant de restreindre la coopération dans les domaines de la sécurité et du renseignement avec les alliés des Etats-Unis qui utiliseraient des équipements 5G d’un fournisseur comme Huawei.
Le chef de la diplomatie doit également rencontrer la chancelière Angela Merkel pour discuter de ce sujet. Il fera certainement de même lors du reste de sa tournée européenne.
En France, lors du salon VivaTech, le Président Emmanuel Macron estimait qu’une guerre technologique ou commerciale vis-à-vis de quelque pays que ce soit n’était pas appropriée.
Il avait souligné que la priorité serait de préserver la sécurité nationale, sans bloquer Huawei ou toute autre entreprise.
Face à ces offensives répétées, Huawei a affirmé que les Etats-Unis créent un « dangereux précédent » qui va avoir un impact mondial sur les chaînes de production, et donc sur l’emploi, mais aussi sur la concurrence.
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