Vous prendrez bien une affaire de violation de brevet avant la fin de l’année. C’est Rates Technology qui s’y colle. Sa cible, Google Talk, le nouveau service de VoIp lancé par le géant de l’internet.
Selon le New York Post, Rates Technology, petite entreprise américaine, estime que Google Talk enfreint plusieurs de ses brevets sur la « minimisation des coûts de communication téléphonique via utilisation de l’Internet ». L’histoire se répète, la start-up demande au géant de verser des dommages et intérêts conséquents en échange de l’abandon de ses poursuites. Interrogé par le journal, Jerry Weinberger, le président de Rates Technology, indique que ses pourparlers avec Google ont échoué un peu plus tôt cette année « en raison de l’arrogance » du groupe californien. Il faut savoir que Rates Technology est un habitué des procédures judiciaires (qui font plus parler que ses produits…). Il a notamment intenté des procès à Alcatel, Vonage et Cablevision Systems et récemment réglé à l’amiable un contentieux avec Microsoft.
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