L’iPhone et l’iPod Touch accueille une nouvelle application, et non des moindres: Google Earth. Disponible sur l’App Store d’Apple, le service de géolocalisation de la firme de Mountain View fournit une solution bienvenue sur le terminal à la pomme.
L’arrivée de Google Earth sur un terminal mobile ne devrait s’accompagner d’aucune perte de qualité du service. Au contraire, en plus des capacités du mobile (accéléromètre, écran tactile) quelques ajouts devraient même être intégrés. Ainsi, il devrait être possible de localiser des lieux depuis un article de l’encyclopédie en ligne Wikipedia ou une photo du site communautaire Panoramio.
Selon le site CNET, l’application devrait également embarquer une petite application destinée à fournir des informations supplémentaires à l’utilisateur. Un lien présent sur l’application renvoie également vers Safari, le navigateur d’Apple, présent sur l’iPhone.
Disponible en 18 langues, Google Earth sera proposé gratuitement. Dans les mois à venir, l’application sera disponible dans 22 pays.
Rappelons également que Deezer a fait son apparition sur l’iPhone, une autre application très populaire qui devrait renforcer l’attrait grand public du terminal.
Tout dernièrement, Google, HTC et T-Mobile ont lancé le G1, le premier téléphone portable sous Androïd, le système d’exploitation open source développé par le moteur de recherche. Lors du lancement, la firme de Mountain View n’avait pas fait mystère de ses attentes, notamment en matière d’applications.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.