Nos confrères duNew York Times ont remarqué que Google – au travers de sa filiale Google Energy – a soumis une demande à la commission fédérale de régulation de l’énergie américaine afin de devenir un fournisseur d’électricité.
Si cette annonce peut sembler étrange de prime abord, elle s’explique sans peine. L’activité de Google suppose de posséder des centres informatiques massifs. Or, ces derniers consomment parfois autant d’énergie qu’une ville de moyenne importance. « Nous voulons avoir la possibilité de produire de l’énergie renouvelable, ce qui permettra à notre compagnie d’atteindre son objectif de neutralité en terme de bilan carbone », confie Nick Fenwick de Google au New York Times.
La compagnie a lancé divers programmes liés aux énergies renouvelables. Ils se confrontent toutefois à des problèmes de disponibilité des ressources (le vent ne souffle pas toujours, le soleil ne brille pas la nuit, etc.) qui imposent de pouvoir acheter de l’énergie pendant les périodes creuses… mais aussi de revendre les surplus lors des périodes pleines. C’est ce problème que souhaite ici résoudre Google.
La firme ne prévoit toutefois pas de devenir un fournisseur d’énergie traditionnel, cette annonce n’étant liée qu’à ses besoins propres. Elle pourrait cependant être attirée par le futur marché des points carbone, qui sera un important générateur de valeur pour les entreprises respectueuses de l’environnement.
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