La décision d’IBM de ne pas tester, certifier et supporter ses applications professionnelles sur les plateformes x86 sous Solaris 10, l’environnement Unix de Sun Microsystems, a désagréablement surpris le marché.
La décision de Big Blue – qui affirme qu’il n’y a pas suffisamment d’utilisateurs de Solaris 10 sur x86 pour le supporter – est d’autant plus surprenante qu’IBM supporte DB2, WebSphere et Tivoly sur Sun Sparc en environnement Solaris 10. Pour Larry Singer, vice-président de Sun, la décision d’IBM est politique, mais sûrement pas technologique. IBM jouerait du monopole ! Quant à l’argument du faible volume de clients sur base x86, il le serait à moins ! Avec la version 10, Solaris réapparaît en environnement x86, et sa distribution ne fait que débuter. La décision d’IBM peut aussi n’être qu’une stratégie réfléchie, avec une prévision d’investissement liée à un point d’équilibre que Solaris 10 n’a pas encore atteint? Le marché reste sceptique sur ce point ! Solaris 10 dispose d’arguments solides, technologiques mais aussi marketing, avec en particulier sa gratuité et le support en mode natif des applications Linux. Des arguments qui n’ont pas échappé aux clients de Sun utilisateurs de solutions IBM.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…
Silicon et KPMG lancent la deuxième édition de l'étude Trends of IT. Cette édition 2024…
Le ministère de l'économie a adressé une lettre d'intention à la direction d'Atos pour racheter…
Directeur Technologie de SNCF Connect & Tech, Arnaud Monier lance une campagne de recrutement pour…