IBM voit grand et veut marquer son empreinte dans les nouvelles technologies dites de « cloud computing« , tout en respectant les contraintes environnementales.
Il utilisera un grand nombre d’ordinateurs refroidis par eau, en sorte de limiter au maximum les coûts de refroidissement (système de climatisation conventionnel avec brassage d’air seulement).
Ce datacenter ciblera principalement les grands comptes désireux d’externaliser tout ou partie de leur stockage ou de mettre en place un PRA (plan de reprise d’activité) suite à un sinistre.
Il proposera également des services reposant sur le concept de « cloud computing » ‘(nuage de serveurs) à savoir la possibilité de disposer d’une plate-forme d’hébergement ou de traitement informatique à distance à partir d’un simple navigateur Internet.
A noter que la semaine dernière, HP associé à Intel et Yahoo, a annoncé un plan de coopération entre les trois géants visant précisément à offrir de tels services de « cloud computing‘.
C’est l’architecture adoptée par Amazon avec sa configuration dite « Elastic Compute Cloud » (ou EC2).
On sait par ailleurs qu’IBM travaille étroitement avec Google sur cette technologie et ses applications.
Dans le même temps, IBM a annoncé ce 1er août l’ouverture d’un tel centre de traitement de données à Tokyo (Japon) représentant un investissement de 40 millions de dollars environ.
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