Le géant des processeurs Intel vient d’annoncer la disponibilité de ses nouveaux composants desktop quadricœurs basés sur l’architecture Ivy Bridge.
À la clé, l’utilisation d’une finesse de gravure de 22 nm, avec des transistors en 3D. Une technologie qui permettra d’améliorer le ratio performance par watt de ces puces, tout en réduisant leur consommation électrique au repos.
Diverses améliorations touchant l’architecture du processeur permettent d’en améliorer les performances de plus de 10 % par rapport à la génération précédente. De nouveaux modules de sécurité sont également présents : un générateur de nombres aléatoires et un système permettant d’éviter les attaques par escalade de privilèges.
La partie graphique intégrée, l’Intel HD Graphics 4000, a été entièrement revue, avec des performances pouvant être multipliées par deux sur la 3D. Elle devient également compatible avec l’OpenCL. Elle pourra donc être exploitée pour des calculs massivement parallèles, comme les GPU d’AMD et de NVIDIA. Enfin, la technologie de compression/décompression Quick Sync Video a été améliorée, avec des gains de l’ordre de fois deux, là encore.
Dans un autre registre, Intel propose en standard un support du PCI-Express 3.0 et de l’USB 3.0 pour ses nouveaux processeurs.
Seuls des composants desktops sont annoncés aujourd’hui. La firme promet toutefois de présenter prochainement des processeurs Ivy Bridge adaptés au monde des ordinateurs portables (netbooks, ultrabooks), ainsi que des Xeon conçus pour les stations de travail et les serveurs.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.