Devant l’avancée d’Ajax, Flash et Silverlight, Sun Microsystems se devait de fournir une alternative légère, simple à mettre en œuvre et douée dans le domaine de l’animation. Ce produit, c’est JavaFX, disponible depuis hier en version 1.0.
Avec cet outil, la compagnie s’attaque – enfin – au marché des applications Internet riches (RIAs pour Rich Internet Applications). La version initiale du kit de développement ne fonctionne que sous Windows et Mac OS X. Linux et Solaris répondent aux abonnés absents… dommage. Pour le reste, JavaFX est d’ores et déjà supporté par des outils de développement majeurs, dont NetBeans 6.5 et Eclipse.
Java forme les fondations de JavaFX, ce qui offre plusieurs avantages à Sun Microsystems : tout d’abord, la compagnie va pouvoir attirer une multitude de développeurs Java sur sa nouvelle plate-forme. De plus, elle n’aura pas à se battre pour imposer sa technologie dans les terminaux mobiles (tels les smartphones), puisqu’une écrasante majorité intègre déjà un support Java.
In fine, c’est dans le domaine des fonctionnalités (codecs audio et vidéo, absence de composant web, etc.) que JavaFX a le plus à craindre de la concurrence. Si l’architecture de cette solution (et le langage de script JavaFX Script) semble aboutie, ce produit ne dispose pas encore d’une bibliothèque de composants capable de concurrencer celle de Flex.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.