La crise irakienne et ‘Onusienne’ a placé les éditeurs européens dans une position d’indélicatesse avec le marché américain. Cette crise de pouvoir, qui frappe les éditeurs de la zone euro, comme ceux d’Europe de l’Est, est le reflet du climat anti-français et anti-européen qu’entretient la presse américaine.
Les développeurs non américains ou asiatiques, malgré la qualité de leur production reconnue par tous les professionnels, peinent à trouver l’éditeur qui leur permettra d’apposer le sésame du ‘Made in America’ qui leur ouvrira les portes du plus grand marché mondial. On comprend mieux pourquoi Infogrames s’appelle désormais Atari à l’international. La production des jeux vidéo semble atteindre une maturité en matière de graphisme. Direct X9 devient la norme des jeux à paraître pour la fin de l’année. Les API circulent afin de permettre aux éditeurs de porter leurs développements sous l’environnement graphique de Microsoft.
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…