Jolla évoque sur son blogue un nouveau débouché pour son OS mobile : les smartwatches. À la fois constructeur de terminaux et concepteur d’OS mobile, le Finlandais continue donc – tant bien que mal – à se chercher une place sur le marché.
« Le mois dernier, nous avons mené un exercice rapide visant à voir jusqu’à quel point nous pourrions avancer en quelques semaines un portage de Sailfish OS pour un nouveau type de dispositif mobile, une smartwatch Android, explique Joona Petrell, UI Chief Engineer chez Jolla. Comparé à la concurrence, le paradigme d’interaction de Sailfish OS est particulièrement bien adapté aux petits écrans. Il est piloté par des gestes et conçu pour maximiser l’espace d’affichage disponible pour le contenu utilisateur. »
Du point de vue du design, le résultat est particulièrement bluffant, comme en témoigne cette vidéo proposée par la société.
Sailfish OS pourrait donc trouver des débouchés comme système d’exploitation pour smartwatches. Dommage pour Jolla que ce marché soit aujourd’hui en régression.
La firme semble par ailleurs avoir réussi à en finir avec l’échec de sa tablette. Elle se concentre sur l’évolution de son OS, avec plusieurs mises à jour récentes. Aucun nouveau terminal (que ce soit un smartphone, une tablette ou une smartwatch) n’est toutefois aujourd’hui en vente sur le site de la société.
À lire aussi :
Jolla et Sailfish OS au bord du gouffre
Jolla (Sailfish OS) en redressement judiciaire
Jolla et Sailfish OS sortis de l’impasse… pour le moment
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.