Voilà trois ans que Kodak négocie avec le leader mondial de l’électronique grand public, Sony, afin de passer un accord de licence sur des brevets détenus par le groupe américain, dont certains datent de plus de 10 ans.
Lorsque l’on négocie le virage délicat de l’argentique vers le numérique, et que l’on se concentre sur l’imagerie digitale, la possession de brevets sur la photographie et la vidéo numérique devient vite stratégique. Suffisamment en tous cas pour presser un aussi gros morceau que Sony, et réagir lorsque les négociations n’aboutissent pas. Les deux acteurs majeurs de la photographie, l’un avec pellicule et l’autre sans, vont donc se retrouver devant un juge de la Cour fédérale de New York. Sony devra répondre à l’accusation de Kodak de violation de 10 brevets que ce dernier revendique comme sa propriété. Au-delà de l’affaire qui oppose deux acteurs majeurs de la photographie numérique, le procès risque de soulever une nouvelle fois la délicate question de l’agrément des brevets par l’administration américaine, surtout avec le dernier brevet obtenu par Kodak, en 2003, qui porte sur la capture et la sélection des images numériques destinées à être imprimées.
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