Etat d’alerte aux Etats-Unis pour les obsèques de Ronald Reagan, avec la fermeture des marchés américains vendredi, décrété jour de deuil national. Ajouter des attaques contre les installations pétrolières irakiennes, et l’on obtient une forte recrudescence des tensions géopolitiques, et la chute des places boursières.
Ce mercredi 9 juin, la Bourse de Paris suit le mouvement, et met fin à cinq séances consécutives à la hausse. Le CAC40 repasse sous la barre des 3700 et perd 0,65% à 3.699,30 points. La Bourse de New York marque une pose et se replie sous l’effet des tensions géopolitiques, en l’absence de données macroéconomiques marquantes. Le Dow Jones perd 0,61% à 10.368,44 points, et le Nasdaq repasse sous la barre des 2000 avec une chute de 1,63% à 1.990,61 points. Profitant de la décrue du brut, le dollar enregistre une forte hausse, et se replace à Wall Street à proximité de la barre des 1,20, à 1,2046 dollar pour 1 euro. Les valeurs technologiques se replient sous l’effet des prises de bénéfices après leur rebond de la veille. Alcatel se reprend, mais, contraint à suivre le marché, perd 0,35%. Capgemini recule de 0,58% sur l’abaissement de l’opinion de UBS sur le titre. Malgré l’accord passé avec le fabriquant chinois Lenovo qui utilisera ses processeurs 64 bits, AMD chute de 4,14%. Inet Technologies, éditeur spécialisé de logiciels de diagnostic pour la conception et la maintenance des réseaux de téléphonie, profite d’un relèvement de sa note face aux perspectives du marché de la téléphonie sur IP pour bondir de 8,82%.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.