Le fait est là: les investisseurs se sont déclarés déçus, ce 31 janvier au soir à l’annonce des chiffres du 4è trimestre du géant du ‘search’.
Le chiffre d’affaires de Google s’est élevé à 1,29 milliard de dollars (contre 1,03 milliard un an plus tôt), et le résultat brut à 372,2 millions, mais avant paiement des commissions aux partenaires publicitaires. La marge est pourtant en forte progression, +82 % par rapport à l’année précédente (204,1 millions de dollars). Les milieux boursiers attendaient plus, paraît-il. Spéculation pour faire craquer les petits porteurs? La direction, selon le Wall Street Journal, invoque un taux d’imposition alourdi sur le 4è trimestre écoulé: il serait grimpé à 41,8% contre moins de 30% précédemment. Pourtant, les responsables le savaient puisqu’ils avaient admis que le taux d’imposition sur l’année avoisinerait les 30%, ce qui est avéré (31,6%). Cette hausse du taux d’imposition serait due principalement au fait que Google aurait investi plus que prévu hors des Etats-Unis. À l’international, le chiffre d’affaires du groupe s’est légèrement replié et représente 38 % de son revenu global (contre 39 % au trimestre précédents). C’est un autre point d’insatisfaction pour les analystes, qui s’inquiètent de voir les revenus de Google à l’étranger progresser plus lentement qu’ils ne l’espéraient. Les revenus publicitaires du moteur assurent plus de la moitié de ses revenus, 57 % au quatrième trimestre. En revanche, ils progressent beaucoup plus rapidement en direct sur le site du moteur, 24 %, que sur les sites de ses partenaires qui affichent les publicités, et ne progressent que de 18 %.
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