Le Brésil est l’un des pays d’origine du spam, loin des Etats-Unis sans doute, mais suffisamment pour se voir ‘blacklisté’ par les fournisseurs d’accès. En effet, ces derniers sont devenus extrêmement prudents avec le trafic en provenance de ce pays, qu’ils ont tendance à mettre à l’index.
Il était donc temps que le gouvernement brésilien réagisse et se donne les moyens de figurer non plus parmi les spammeurs, mais parmi les acteurs majeurs de l’internet. Des projets de lois sont en cours d’élaboration. Mais les politiques se sont fait dépasser par le terrain, plusieurs associations ayant créé l’Antispam Brazilian Committee, qui s’est doté d’un code d’éthique anti spam. Plus qu’une loi, dont l’arrivée reste politiquement problématique, les acteurs de l’internet brésilien entendent favoriser l’autorégulation. Et pour cela, ils viennent de lancer une première action, le projet ORBL (Open Relay Black List), une ‘black list’ anti spam, premier système brésilien de prévention des abus.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.