Les trimestres se suivent et se ressemblent pour Oracle. L’éditeur de progiciels, de bases de données et d’applications d’aide à la décision affiche pour le premier trimestre de son exercice des résultats encore très solides.
Le géant américain a dégagé un bénéfice de net de 840 millions de dollars, soit 16 cents par action, contre 670 millions (13 cents) un an plus tôt (+25%).
Son chiffre d’affaires a progressé sur la période à 4,53 milliards de dollars contre 3,59 milliards (+26%) sur le trimestre identique de l’an dernier. Des performances largement supérieures aux attentes des analystes.
Le groupe a profité de l’apport des multiples entreprises qu’il a racheté au cours de l’année comme Hyperion Solutions, Stellent et MetaSolv. Dans le même temps, ses ventes de nouvelles licences ont littéralement explosé. Elles ont atteint 1,1 milliard de dollars, soit une progression record de 35%.
Ces bons résultats permettent à l’éditeur de se rapprocher encore un peu plus de SAP dans le marché des progiciels. « Nous continuons de prendre des parts de marché à SAP dans les applications », s’est félicité Charles Phillips, président de l’éditeur, cité dans le communiqué.
Dans le middleware et les bases de données, les ventes de nouvelles licences ont progressé de 23%. Sur le segment du middleware, Oracle estime qu’il pourra dépasser IBM d’ici la fin de l’année, si une croissance similaire est au rendez-vous.
Côté prévisions, l’optimisme est de rigueur,le groupe table pour le deuxième trimestre sur une hausse de 19 à 21% de son chiffre d’affaires, et sur une augmentation de 15 à 25% de ses ventes de nouvelles licences de logiciels.
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